Berlin, creuset des luttes des minorités sexuelles : double-programme au Cosmos !

Dans le cadre du festival Augenblick


Séance présentée

RÉSERVATION


En co-programmation avec la curatrice allemande Borjana Gaković, cette section complète et prolonge la thématique abordée dans le focus La Lutte amor – Carte blanche à Didier Eribon (aux cinémas Star), proposé dans le cadre du festival Augenblick.

Le Cosmos projette dans ce cadre deux films documentaires, Armee der Liebenden de Rosa von Praunheim ainsi que Queer Exile Berlin de Jochen Hick.
Armee der Liebende sera projeté en grande salle le samedi 9 novembre à 18h et Queer Exile Berlin suivra le même jour à 20h15.

« Au-delà des thématiques particulières que traitent ces films, ces documentaires sont avant tout des exemples extraordinaires de la lutte pour le maintien en vie d’identités « non-conformes » aux critères majoritaires et pour lesquelles les droits ne sont toujours acquis que de façon précaire. Le sens de ces combats peut être étendu à toutes les luttes quelles qu’elles soient, quand elles s’affrontent à un système basé sur la négation écrasante des individus. De plus, ces documentaires, qui s’appuient sur des témoignages actuels mais puisent aussi dans des images d’archives rares, sont d’un intérêt historique et sociologique incontestable. »
Sadia Robein, déléguée générale et artistique

En co-programmation avec la curatrice allemande Borjana Gaković, cette section complète et prolonge la thématique abordée dans le focus La Lutte amor – Carte blanche à Didier Eribon (aux cinémas Star), proposé dans le cadre du festival Augenblick.

Le Cosmos projette dans ce cadre deux films documentaires, Armee der Liebenden de Rosa von Praunheim ainsi que Queer Exile Berlin de Jochen Hick.
Armee der Liebende sera projeté en grande salle le samedi 9 novembre à 18h et Queer Exile Berlin suivra le même jour à 20h15.

« Au-delà des thématiques particulières que traitent ces films, ces documentaires sont avant tout des exemples extraordinaires de la lutte pour le maintien en vie d’identités « non-conformes » aux critères majoritaires et pour lesquelles les droits ne sont toujours acquis que de façon précaire. Le sens de ces combats peut être étendu à toutes les luttes quelles qu’elles soient, quand elles s’affrontent à un système basé sur la négation écrasante des individus. De plus, ces documentaires, qui s’appuient sur des témoignages actuels mais puisent aussi dans des images d’archives rares, sont d’un intérêt historique et sociologique incontestable. »
Sadia Robein, déléguée générale et artistique