Dans le cadre du Week-end Versus West Side Story
Dans le West Side, bas quartier de New York, deux bandes de jeunes s’affrontent, les Sharks de Bernardo et les Jets de Riff. Un ex des Jets, Tony, s’éprend de Maria, la soeur de Bernardo.
Dans le cadre du Week-end Versus West Side Story
Dans le West Side, bas quartier de New York, deux bandes de jeunes s’affrontent, les Sharks de Bernardo et les Jets de Riff. Un ex des Jets, Tony, s’éprend de Maria, la soeur de Bernardo.
Dans le cadre des projections complices avec Pole-sud autour du festival L’année commence avec elles.
Une déclaration d’amour à l’underground new-yorkais des années 1980 : à la culture queer, aux drags aux trans, au voguing.
La projection de Touché du vendredi 7 janvier à 20H00 sera présentée par Antje Schur, chorégraphe et danseuse de la compagnie Dégadézo qui est à l’origine du film, et suivie d’un échange avec le public au salon du Cosmos.
Sainte-Marie-aux-Mines, en Alsace rurale. Un lycée professionnel.
Une classe d’élèves de Première ASSP (Assistance, Soins et Services à la Personne) vivent pour la première fois une expérience de danse contemporaine basée sur le contact improvisation. Pendant un trimestre, une compagnie de danse les accompagne dans cette découverte. Entre cours professionnels où l’on apprend comment prendre en charge un corps et les ateliers de danse qui prennent appui sur le contact, les adolescents vivront une expérience corporelle inédite qui leur ouvrira des chemins vers une connaissance d’eux-mêmes et des autres. Le film leur donne la parole et l’image, en suivant ce cheminement depuis leur perspective.
Les projections de Touché seront précédées du court métrage produit localement Gömböc réalisé par Vincent Vicario.
En version originale le 17 mai à 15H00 et le 17 juin à 20H00!
En raison d’une épidémie de grippe canine, le maire de Megasaki ordonne la mise en quarantaine de tous les chiens de la ville, envoyés sur une île qui devient alors l’Ile aux Chiens. Le jeune Atari, 12 ans, vole un avion et se rend sur l’île pour rechercher son fidèle compagnon, Spots. Aidé par une bande de cinq chiens intrépides et attachants, il découvre une conspiration qui menace la ville.
Avec Bryan Cranston, Koyu Rankin, Edward Norton… (VOST)
Avec Vincent Lindon, Romain Duris, Hippolyte Girardot… (VF)
En Andalousie, dans un village de gitans. Deux pères ont décidé d’unir leurs enfants, Candela et José, qui sont encore adolescents. Dans l’ombre, Carmelo, un jeune garçon amoureux de Candela, est au désespoir. Mais dix ans passent et le projet s’accomplit. Carmelo n’a pas cessé d’aimer Candela. José, très peu fidèle, courtise très rapidement la belle Julia. Lors d’une rixe entre les nombreux prétendants de la belle, il est tué. Carmelo reprend espoir, mais il est suspecté et condamné à quatre ans de prison pour le meurtre de José. À l’issue de son séjour carcéral, il aime toujours Candela et la supplie enfin de l’écouter. Mais cette dernière est possédée par le fantôme de José…
Le talent de Mumble ce n’est malheureusement pas le chant mais les claquettes, mignon mais pas suffisant pour convaincre sa tribu.
Refoulé par sa colonie pour avoir un talent considéré comme une anomalie, Mumble est contraint d’affronter seul le grand monde glacé. Accompagné par les Amigos et Lovelace, le sage manchot à la houppe jaune, Mumble entame un voyage passionnant et prouve que tant que l’on a confiance en soi-même, on est capable de changer le monde !
Un vagabond s’éprend d’une fleuriste aveugle. Elle s’imagine son prétendant milliardaire. Un classique à (re)voir en famille, totalement accessible aux enfants à partir de 8 ans.
En errant dans la ville, Charlot fait la connaissance d’une vendeuse de fleurs aveugle. Un quiproquo le fait passer pour un homme riche. Le soir même, Charlot sauve justement la vie d’un millionnaire suicidaire. Prêt à tout pour permettre à la jeune aveugle de recouvrer la vue, Charlot s’engage comme balayeur puis comme boxeur.
Charles Chaplin a lui-même composé la musique de ce film.
Ce film muet n’est pas sous-titré SME mais est adapté aux personnes sourdes et malentendantes.
Danglard, entrepreneur de spectacles, se lance dans la rénovation d’un vieil établissement qu’il nomme le Moulin-Rouge. Il prend le pari de remettre à la mode un vieux quadrille, le Cancan, et de faire de Nini, jeune blanchisseuse, une danseuse vedette. Dans son projet, Danglard se heurte à la jalousie de Lola, une danseuse éprise de lui, aux revirements de son commanditaire et aux souteneurs de Montmartre.
Présenté initialement à Cannes en marge de la sélection du 8e festival du film, French Cancan sort en salle le 25 avril 1955. 30e long métrage de Jean Renoir, sa sortie est célébrée par la presse écrite. Les Cahiers du cinéma consacrent à l’événement quatre numéros, huit pour Cinémonde qui le met en Une de son numéro 1060 et Révélation publie un « roman-film réalisé d’après le film de Jean Renoir », sur deux pleines pages. « Chef d’œuvre de la couleur et du mouvement » (Franc-tireur), « Une œuvre éclatante de joie de vivre et de couleur » (Libération), « Le divertissement d’un grand artiste » (France soir), les titres de la presse généraliste sont pour la plupart élogieux. Les critiques célèbrent aussi les retrouvailles de Jean Renoir et Jean Gabin qui n’avaient plus tourné ensemble depuis La Bête humaine en 1938. Pour cette production en Technicolor, Gabin interprète le propriétaire du Moulin Rouge, inventeur du french cancan, danse qui a fait la renommée du bal de la place Blanche.
– La Cinémathèque française.
Titre Original : The Band Wagon
Tony Hunter, artiste déchu, revient à New York où il est accueilli par ses deux vieux amis, Lily et Ted. Ils se lancent dans la création d’une comédie musicale qui, à sa première représentation, est un échec retentissant.
Film phare de la légendaire « Freed Unit », Tous en scène ! représente la quintessence de la comédie musicale. Grâce à la conjonction de nombreux talents, c’est sûrement, avec Chantons sous la pluie, la comédie musicale la plus achevée, tant par les thèmes traités que par la qualité des numéros musicaux. S’inspirant de leur propre vie, les scénaristes proposent une satire du milieu théâtral, avec une approche quasi-documentaire de l’art du spectacle. Minnelli, à la manière d’un peintre, a donné à la couleur un grand rôle émotionnel. Chaque séquence a une coloration propre, chaque émotion dépeint le monde d’une façon différente. Il en résulte des séquences événements tels que Dancing in the Dark ou The Girl Hunt Ballet. Tourné avec le procédé trichrome de Technicolor, Tous en scène ! est un film somme, aussi bien dans l’histoire du musical que dans l’œuvre de Minnelli.
– Nicolas Caïssa
Lara, 15 ans, rêve de devenir danseuse étoile. Avec le soutien de son père, elle se lance à corps perdu dans cette quête d’absolu. Mais ce corps ne se plie pas si facilement à la discipline que lui impose Lara, car celle-ci est née garçon.
On voit bien les pistes évidentes, du drame instructif, possiblement moralisateur, pensé pour élever le festivalier occidental en mal de grands thèmes sociétaux sur lesquels appuyer ses émotions, épaissies par de nombreuses soirées à se beurrer au champagne tiède. Par bonheur, Lukas Dhont, dont c’est le premier long-métrage, déjoue presque instantanément tous les attendus du genre. […] Quand un nouveau venu s’attaque à un sujet immensément complexe pour mieux en retourner toutes les problématiques, il nous offre un condensé d’humanité et de sensibilité qui nous va droit au cœur.
– Simon Riaux pour Ecran Large
Léon est un garçon timide et solitaire qui travaille aux bains-douches-saunas. Sa seule compagnie réside en ses discussions avec les prostituées du quartier dont l’une d’elles, Fumée, lui fait découvrir le monde du tango. Bouleversé par cet univers, Léon décide d’apprendre à le danser au point de participer à des compétitions.
Jean-Daniel Pollet retrouve Claude Melki, acteur fétiche depuis son premier film, Pourvu qu’on ait l’ivresse. Pierrot lunaire, éternel amoureux déçu, Léon va soudain s’affirmer au rythme de la danse. Derrière le personnage insaisissable, se cachent la tendresse, l’humour et le talent d’un poète dont les moindres gestes prennent une dimension inattendue.
– La Cinémathèque Française
Durant les dix-huit premières années de sa vie, Elena vit heureuse avec ses parents à Chihuahua où elle étudie la danse. Jusqu’au jour où, rentrant de l’école, elle découvre que sa mère s’est enfuie avec un ami de la famille et que son père s’est suicidé. Elle se rend alors à Ciudad Juarez, à la frontière avec les États-Unis, pour y trouver du travail…
Œuvre du metteur en scène Alberto Gout, avec lequel Ninón Sevilla avait déjà travaillé à la fin des années 1940 dans un film produit par les frères Calderón, Aventurera apparaît comme une oeuvre exceptionnelle dans le panorama des films de cabaret, dont il active les codes en les poussant à un tel paroxysme que le film est emblématique de cette rhétorique de l’excès – que Peter Brooke associe à l’esthétique mélodramatique.
Les mésaventures tragi-comiques de deux jeunes malfrats, Frantz et Arthur, qui, avec l’aide d’Odile, jeune fille naïve, tentent un coup minable : dérober une somme d’argent volée au fisc par l’oncle d’Odile…
Genre : western de banlieue (dixit Godard). Derrière « bande à part », il faut entendre déviance, contrebande ou encore dandysme. Les dandys sont ici des jeunots attardés — Sami Frey, Claude Brasseur, derrière leur pupitre du cours d’anglais — qui s’amourachent d’une Anna Karina plus Lillian Gish que jamais, avec ses tresses et sa jupe plissée. Leur vie ressemble à du cinéma, à une série B de Joseph Lewis mâtinée de francité.
– Télérama
Sans famille, sans amis et sans argent, Nomi Malone débarque à Las Vegas pour réaliser son rêve : devenir danseuse. À peine arrivée, elle se fait voler sa valise par l’homme qui l’a prise en stop. Perdue dans la ville, Nomi doit son salut à Molly Abrams, costumière au «Cheetah», un cabaret réputé de la ville. Molly lui trouve un job de stripteaseuse dans une boîte où elle fait elle-même quelques extras. Cristal Connors, la vedette du «Cheetah», très attirée par Nomi, la fait engager dans son show, où elle gravit rapidement les échelons. Dans les coulisses impitoyables de Vegas, Nomi devient très vite une rivale gênante.
Un film à poil ? Plus ouvertement sexuel que Basic Instinct, Showgirls ne s’embarrasse effectivement pas de vernis. Finies les couvertures scénaristiques, le vitriol planqué dans les plis du thriller (Basic Instinct, Robocop) et du film de science-fiction (Starship Troopers, Total Recall). Ici, les faux-ongles, les faux-cils et les nippies ne sont plus que cache-misères dérisoires, masquant à grand peine une Amérique débarrassée de ses oripeaux, vulgaire, vile et obscène. Porté par le triomphe de Basic Instinct trois ans plus tôt, le sulfureux duo Verhoeven-Eszterhas pousse les curseurs très loin. Trop loin. Le film est tellement cru, la charge tellement violente, que le retour de bâton sera à l’avenant : bide commercial, Showgirls récolte une douzaine de nominations aux Razzie Awards (l’équivalent des Oscars pour les pires films de l’année) et une mémorable volée de bois vert. Mais depuis quelques années, dans le sillage de Rivette, un lent mouvement critique s’opère, réévaluation par le haut du film et de sa beauté secrète − un ouvrage très sérieux, et sobrement intitulé : It Doesn’t Suck: Showgirls, est d’ailleurs sorti l’an dernier aux États-Unis. « It Doesn’t Suck » (« Ça n’est pas de la merde ! »), c’est ce que répète à l’envi Nomi Malone, héroïne de ce film mal-aimé − pourtant l’un des préférés de son auteur. Vingt ans ont passé, les scandales aussi. Il est temps de revoir Showgirls.
– Xavier Jamet pour La Cinémathèque Française
Suzy, une jeune Américaine, débarque à Fribourg pour suivre des cours dans une académie de danse prestigieuse. À peine arrivée, l’atmosphère du lieu, étrange et inquiétante, surprend la jeune fille. Et c’est là qu’une jeune élève est spectaculairement assassinée. Sous le choc, Suzy est bientôt prise de malaises. Et le cauchemar ne fait qu’empirer : le pianiste aveugle de l’école meurt à son tour, égorgé par son propre chien….
Pour connaître les dernières danses à la mode et être dans le coup, tous les jeunes gens se précipitent après l’école pour regarder le « Corny Collins Show » à la télé. Tracy, qui a la coiffure la plus volumineuse du quartier mais se trouve un peu grosse, époustoufle tout le monde par sa façon de danser le madison. Elle est finalement sélectionnée par le jury du show. Même ses parents sont fiers parce qu’ils font ainsi partie du « show-biz ». Mais des rivalités et des jalousies surgissent !