Apolonia, Apolonia

Lorsque la réalisatrice danoise Lea Glob commence à filmer la peintre Apolonia Sokol, il ne devait s’agir que d’un exercice d’école de cinéma. Le portrait filmé s’est finalement tourné sur treize années pour se muer en une épopée intime et sinueuse, celle d’une jeune femme artiste, depuis sa vie de bohème au cœur du théâtre du Lavoir Moderne que dirigent ses parents, jusqu’à son ascension dans le milieu de l’art contemporain, en passant par ses études aux Beaux-Arts de Paris. Mais en miroir d’Apolonia, ce sont aussi les destins d’Oksana Shachko, l’une des fondatrices des Femen, et de la réalisatrice, qui se dessinent. Une sororité à trois faces, à l’épreuve du monde d’aujourd’hui.

Les passagers

Les Passagers explore le phénomène de l’émigration en France après la guerre d’Algérie. Les ressortissants algériens tentent de trouver du travail en France pour subvenir aux besoins de leurs proches restés au pays. D’aucuns espèrent vivre le « rêve européen » avant de se confronter à la réalité du terrain : la précarité du travail, pénible et dangereux, le mal-logement, les stéréotypes empreints du racisme colonial. Un combat qui se traduit, pour certains, par une forte syndicalisation, et pour d’autres, par la solidarité et l’entraide.

Précédé de :
L’Algérie mon beau pays 
Un montage réalisé par Younes Adoud, Youcef Khanfour et Yann Robert du lycée Marc Bloch de Bischheim, avec l’aide d’Eléonore Cheynet, intervenante audiovisuel, dans le cadre du projet File ta bobine ! 2021-2022 à partir du corpus Alsace-Algérie – 8 mm

En présence de Ali Saal, chanteur et musicien, et Mohamed Djaroud, militant associatif et syndical et Liza Alster, Responsable de la Cinémathèque idéale des banlieues du monde.

La projection sera suivie par un verre de l’amitié au Bardu (Cosmos) !

Tarifs habituels

En partenariat avec La Cinémathèque idéale des banlieues du monde et Strasbourg-Méditerranée

EXPEDISOUND SERIES : AFRICAN

Documentaire | 52 min. / Avec l’aimable participation d’IOT Records

CARTE BLANCHE AU DERNIER SOUFFLE / SÉANCE PRÉSENTÉE PAR LE DERNIER SOUFFLE

Le collectif d’artistes Dernier Souffle est en résidence au Cosmos depuis mercredi 23 avril. Durant cette période, iels explorent le cinéma, construisent des machines étranges et imaginent leur sortie de résidence qui aura lieu le 3 mai. Mais avant ce rendu, le cinéma leur a donné carte blanche pour 4 séances. Iels ont choisi 4 films en lien avec notre thématique Luttes sociales.

Synopsis :
Partis depuis Paris, 7 camions suréquipés d’images et de sons vont parourir plus de 10 mille kilomètres pour rejoindre Bamako. Ces beat freaks, travellers d’un nouveau genre, repoussent les frontières des raves. Leur quête : retrouver sur les pistes africaines l’esprit free-party qui soufflait aux débuts des années 90 en Europe.
Le film a fait l’objet d’une série de documentaires et de disques, appelée Expedisound et publiée sur IOT Records.

La séance sera présentée par Dernier Souffle

Tarif unique : 5 €

MOTOCO 

COMPÉTITION DOCUMENTAIRE #4 – Dans le cadre du Festival du Film de l’Est
Séance en partenariat avec Le Lieu Documentaire et Focus Films Grand Est

MOTOCO
de Robin Hunzinger – Ana Films [2023] – 52min

Mulhouse, ville de tous les possibles.
Anne-Sophie Tshiegg, cheveux blond platine, roule dans sa voiture décapotable noire. Elle est seule. Autour d’elle, les immeubles immenses en brique rouge d’une friche industrielle. Elle rejoint un lieu. Motoco. Une jeune femme chargée d’âme, Kiki l’attend. Les voilà qui traversent un long couloir. Elles savent toutes les deux qu’elles ont de la chance de faire partie de cette résidence d’artistes unique en son genre. Car ici, à Motoco, 150 artistes expérimentent et travaillent chaque jour dans une totale autonomie financière grâce à la persévérance de Martine Zussy, la directrice du lieu.

UN TROU DANS LE PAYSAGE
d’Anne de la Chapelle Lepers – Autoproduction [2023] – 36min

Le temps de voir une maison disparaître sous les coups d’engins de démolition, le documentaire retrace les six années durant lesquelles elle fut occupée par un collectif, qui en fit non seulement son lieu de vie, mais surtout un lieu d’activités partagées : atelier vélo, réalisation de courts métrages, création d’une imprimerie, concerts et fêtes, etc.
Au-delà de cet exemple, c’est une histoire des quartiers ouest et gare de Strasbourg qui est reconstituée, et l’on mesure l’évolution de la notion de “squat”, vers un usage temporaire de friches urbaines et autres territoires abandonnés, tolérés puis intégrés et aménagés depuis par l’économie sociale et environnementale.

Séance précédée par un court-métrage issu des collections MIRA, Cinémathèque régionale numérique
SPORTS #1
de Pierre Schmidt [1956] – 2min

Massée sur les quais ou au-dessus des ponts, une foule de spectateurs assiste au combat de jouteurs nautiques en 1956 à Strasbourg.

Coconut Head Generation

Tous les jeudis un groupe d’étudiant·es de l’université d’Ibadan au Nigeria organise un ciné-club. Regarder ensemble des films libère la parole et va transformer ce simple rendez-vous cinéphile en véritable agora où s’élabore une pensée critique, politique et militante. Cette jeunesse, à qui on dit qu’elle a la tête dure et vide comme une noix de coco, va s’emparer de ce qualificatif méprisant et l’ériger comme un étendard dans sa lutte pour un meilleur Nigeria.

« On nous appelle la génération smartphone, des jeunes paresseux, irresponsables, sans emploi, la tête dure et creuse comme une noix de coco. Et si on reprenait ces insultes, qu’on se les réappropriait, qu’on les renvoyait à la figure de la vieille génération pour leur faire savoir que nous pouvons être tout cela et fabuleux malgré tout ? » Oluwatosin Faith Kolawole

! ÉVÉNEMENT !
Séance présentée et suivie d’une rencontre avec le réalisateur
Le lundi 2 décembre, la première séance de Coconut Head Generation au Cosmos (19H30 en Grande salle) sera accompagnée par les étudiant·es de la Haute école des Arts du Rhin qui présentera et modérera la rencontre avec le réalisateur Alain Kassanda.
En partenariat avec la HEAR et le FémiGouin’Fest

LA TAPISSERIE DE BAYEUX LA QUETE DES ORIGINES

Témoignage historique inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, entouré d’innombrables mythes, la Tapisserie de Bayeux, longue de 68 mètres, est un bien culturel européen de premier ordre. Telle une bande dessinée médiévale, la tapisserie brodée raconte la conquête de l’Angleterre par les Normands en 1066. Elle détaille avec soin, en 58 tableaux, chaque étape de l’épopée de Guillaume parti à la conquête de la couronne anglaise à lui promise et usurpée par le traître Harold.
Cette bande dessinée est-elle fidèle aux évènements historiques ou est-elle l’une des toutes premières manifestation de la propagande politique ?
De l’entourage de Guillaume le Conquérant à celui d’Hitler, le film « LA TAPISSERIE DE BAYEUX : LA QUÊTE DES ORIGNES » raconte l’histoire mouvementée de cette oeuvre.

Une production Sancho & Compagnie, société de production du Grand-Est.

MENOPAUSES : QUAND LES FEMMES EN PARLENT

Ciné-débat en présence de la réalisatrice.
Entrée libre, dans la limite des places disponibles

Dans le cadre des OFF des Assises européennes de lutte contre les violences faites aux femmes,
Le(s) temps de la Femme – Projection-discussion autour du documentaire Ménopause, les femmes en parlent (2023, 52 minutes) de Julie Talon

Vieillir révèle le regard de notre société sur le rôle attendu des femmes. Depuis le XIXème siècle, l’approche médicale et sociétale a qualifié le temps de la ménopause comme une pathologie là où la culture chinoise y voit « un changement d’énergie ».

Comment le vieillissement du corps des femmes est devenu un enjeu politique ? Accueillir le vieillissement des corps dans la joie est – il encore possible ? A quelles conditions ?
La table ronde propose d’échanger sur la construction culturelle et sociale de la ménopause et les politiques publiques qui prennent en compte la santé des femmes.

Avec Elise Thiébaut, autrice et journaliste, Mariane Moller, Directrice des ressources humaines (Ville de Strasbourg), Lara Ferry, Cheffe de projet en charge de l’égalité professionnelle et de la qualité de vie au travail (Ville de Strasbourg) et Julie Talon, réalisatrice du documentaire

En partenariat avec Focus Films Grand Est

Mondovino

SÉANCE UNIQUE !
Depuis les tout-puissants milliardaires de Napa en Californie, en passant par les rivalités entre deux dynasties aristocratiques florentines, jusqu’aux batailles de trois génération d’une famille bourguignonne, qui résiste pour conserver ses quelques hectares de vignes, Mondovino met en scène sur trois continents la saga des successions dans le monde du vin.

Mondovino de Jonathan Nossiter est projeté en guise d’amuse-bouche du salon Phare Ô Vins qui aura lieu les 26 et 27 octobre au Phare Citadelle. Le Bardu Cosmos (bar-restaurant du cinéma) proposera dès 18h un mini-salon où vous pourrez retrouver la fine fleur des vigneron·nes alsacien·nes : Emma & Louise Meyer, Fanny et Jules Kleinknecht, Yannick Meckert, Leonard Dietrich, Jacques Bentz et Jean-Pierre Frick.

La projection sera présentée par Jean-Pierre Frick et suivie d’un débat.

ALTERITATS

DANS LE CADRE DU FESTIVAL FÉMIGOUIN’FEST

Ce documentaire recueille les diverses voix de la communauté lesbienne en Catalogne.

Alba Cros Pellisé que l’on a eu le plaisir de voir dans la amiga de mi amiga l’année dernière et Nora Haddad Casadeval nous offrent un documentaire émouvant empli de témoignages divers. On se reconnait, on s’imagine. C’est doux. (O.H.)

AUTONOME

COMPÉTITION DOCUMENTAIRE #6 – Dans le cadre du Festival du Film de l’Est
Séance en partenariat avec Le Lieu Documentaire et Focus Films Grand Est

AUTONOME
de Philippe Pichon – Un Film à la patte [2024] – 52min
Ils sont une quinzaine entre 15 et 25 ans. Tétraplégiques, paraplégiques, atteints de maladies neurologiques invalidantes, depuis la naissance ou après un accident de vie. Le film raconte, en immersion dans l’Ecole de Vie Autonome de Nancy, le parcours d’apprentissage de 5 d’entre eux vers l’autonomie, et interroge notre société sur la place qu’elle devrait faire aux plus vulnérables d’entre nous. Une place qu’il reste encore à créer, à inventer…

TARASCA
de Nathanael Ruiz de Infante | 27 min. | 2023
« L’air ambiant s’alourdit, Ça fait un moment que je le ressens. Cet air est lourd, je le sens sur ma peau. Aujourd’hui des étrangers sont venu nous aviser Qu’une bête s’approche ». À Tarascon, dans le Sud de la France, un jeune découvre l’existence d’une créature légendaire qui vit dans le Rhône. Ce monstre, que tous appellent la Tarasque, apparaît une fois par an sous différentes formes lors des fêtes de la ville montées en son honneur. Le temps d’un été, Joachim est guidé par les habitants dans un monde où le rêve et la réalité sont durs à différencier.

Séance introduite par un court-métrage issu des collections MIRA, Cinémathèque régionale numérique
LES MOUVEMENTS DE LA JEUNESSE
de Charles Bueb [1960] – 2min
Une colonie de vacances dans les années 1960. À visée éducative, filles et garçons font l’expérience du collectif.

Techqua Ikachi, la terre – ma vie

Séance présentée et suivie d’une rencontre avec la réalisatrice !

Techqua Ikachi (1989) est un voyage unique dans l’histoire des Hopi en Arizona, aux Etats-Unis. Depuis les années 1960, James Danaqyumptewa et sa communauté amérindienne tentent de conserver une trace de leurs traditions en filmant leur mode de vie et les cérémonies emblématiques de leur culture. Le film montre leurs difficultés face au pouvoir colonial, leur adaptation aux enjeux écologiques de la région et témoigne de la scission de leur peuple pour survivre. Faisant écho à l’actualité du 21ème siècle, cette œuvre collective de l’activiste Hopi James Danaqyumptewa à l’initiative du projet, de la réalisatrice Anka Schmid et de l’artiste Agnes Barmettler nous transporte au plus près de cette communauté grâce aux prises de vue Super 8 historiques et aux séquences créées par ce trio d’auteurs.

La séance sera présentée par Charlotte Ducos, fondatrice de l’association Loreley Films (Bâle) qui fait redécouvrir des films de réalisatrices oubliées du 20e siècle et transmet cet héritage aux spectateurices d’aujourd’hui.

La séance sera suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Anka Schmid !

Armée d’amour

DANS LE CADRE DU FOCUS BERLIN, CREUSET DES LUTTES DES MINORITÉS SEXUELLES ET DE GENRE

– Titre original : Armee der Liebenden – 

Praunheim a tourné pendant sept ans (1972-76) un documentaire sur le travail et les objectifs du mouvement d’émancipation des homosexuels aux Etats-Unis, en particulier à New York et San Francisco.

Rosa von Praunheihm, écrivain, réalisateur, activiste (de son vrai nom Holger Bernhard Bruno Mischwitzky), est né en 1942 à Riga. Il se fait connaître dans les années 70 avec les films Die Bettwurst et Nicht der Homosexuelle ist pervers, sondern die Situation, in der er lebt. Le film Armee der Liebenden est un témoignage précieux sur le travail et le processus d’émancipation homosexuelle aux États-Unis, à New York et à San Francisco. Le film, à travers des interviews et des images des manifestations dans ces villes, dresse un état des lieux à la fois complexe et en même temps lisible (grâce à un montage adroit) de la scène homosexuelle de l’époque. L’un des films fondateurs de la réflexion autour de la culture gay menée du point de vue de l’un de ses militants les plus invétérés.

Le Cosmos entretient une relation particulière à Rosa von Praunheim puisque nous avions déjà passé un de ses films dans le cadre d’un de nos précédents cycles consacré au Sida et au VIH.

News from Home

Sur des travellings ou des longs plans fixes de New York (métro, rues, façades) qui racontent en creux son quotidien, la cinéaste lit les lettres envoyées de Belgique par sa mère, cordon ombilical la rattachant encore à son roman familial. Au seuil l’une de l’autre, la parole et l’image finissent par se confondre

« Il y a des projets de films que j’ai faits sans écrire, comme News from Home, Hotel Monterey et un autre film qui s’appelle La Chambre. News from Home était un film plus conceptuel, qui partait d’une idée, d’un choc, d’une image que j’avais de New York, et de sons qui étaient les lettres de ma mère. »

La Déposition

COMPÉTITION DOCUMENTAIRE #3 – Dans le cadre du Festival du Film de l’Est
Séance en partenariat avec Le RÉCIT, Le Lieu Documentaire et Focus Films Grand Est

LA DÉPOSITION
de Claudia Marschal – Idéale Audience Group, Shellac [2023] – 1h32

Emmanuel croit trouver un refuge auprès de Hubert, le curé de son village en Alsace. Mais un après-midi pluvieux, Emmanuel ressort du presbytère après avoir juré de ne jamais raconter ce qui s’y est passé.
Trente ans plus tard, Emmanuel se souvient de ce jour. À la gendarmerie, il active discrètement l’enregistreur de son téléphone et commence sa déposition.

De son audition par la gendarmerie à l’exploration de ses souvenirs en passant par sa bouleversante réconciliation avec son père, le récit poignant de la reconstruction d’Emmanuel, porté par sa présence lumineuse.

Séance introduite par un court-métrage issu des collections MIRA, Cinémathèque régionale numérique
ENFANCE
Inconnu.e [1940] – 2min

Dans les années 1940, des enfants jouent ensemble dans la cour d’une école. Des images d’innocence dans une période troublée.

Bon Voyage

COMPÉTITION DOCUMENTAIRE #2 – Dans le cadre du Festival du Film de l’Est
Double-séance en partenariat avec Le Lieu Documentaire et Focus Films Grand Est

BON VOYAGE
de Karine Birgé – CVB-Centre Vidéo de Bruxelles [2023] – 54min

Elle avait 102 ans. C’était la fin de l’été 2018. Ma grand-mère a fait le choix de quitter la France pour venir mourir en Belgique. Le choix d’une mort “douce et facile” – euthanasia en grec. Je reviens sur ce qui a précédé son exil éphémère et mes souvenirs de cette difficile traversée. À partir des traces sonores que j’en ai gardées, je convoque un petit théâtre de poupées et d’objets, réunis mes proches, mes amis, le docteur Frankenstein et Chantal Goya, et retisse un monde autour de ma grand-mère partie dans une étrange quiétude.

DOCUMENTAIRE D’UN GARÇON QUI RÉFLÉCHIT TROP
de Samuel Rios – Autoproduction [2021] – 13min

Une phase de dépression en pleine période du Covid et du confinement traversé par un jeune homme qui ne sait pas réellement ce qu’il veut dans la vie. Il décide d’exposer ses questionnements, et inquiétudes, dans un but cathartique. La honte de montrer sa fragilité va laisser place petit à petit à la fierté d’avoir su s’assumer.

Séance introduite par un court-métrage issu des collections MIRA, Cinémathèque régionale numérique
COMMENCEMENT
de Michel Daussin [1969] – 2min

L’éternel émerveillement de l’éveil à la vie lors des premiers jours d’un nouveau-né.

Tarifs habituels

Shâd Bâsh

COMPÉTITION DOCUMENTAIRE #1 – Dans le cadre du Festival du Film de l’Est
Double-séance en partenariat avec Le Lieu Documentaire et Focus Films Grand Est

SHÂD BÂSH
d’Hélène Rastegar
Ana Films / 79′ [2024]

Bâbâdjoun, mon cher papa, ça ressemble à quoi l’Iran maintenant ? Et si j’y allais ? La grande Histoire a redistribué les cartes de notre histoire personnelle ; créé des nœuds et des carences. Aller en Iran est un élan vers toi qui a tant manqué à ma vie. Mais suis-je capable d’aller dans ce pays que tu as fui ?

Dans la mémoire de mon cœur, les vers d’un poème persan que tu m’as appris : “Rien ne reste, tout passe, tout change, alors vis dans la joie”. Bâbâdjoun, saurons-nous rattraper le temps perdu avant de disparaître ?

Séance précédée du court-métrage
REINE
d’Emma Chevalier | 10’ [2021]

Kamille rêve de devenir actrice, alors qu’elle ne se voit attribuer que des rôles d’hommes au conservatoire de théâtre. Interrogeant la place de la transidentité dans l’art et dans le quotidien, qu’est-ce que c’est que d’être une femme dans ce monde ?

Séance introduite par un court-métrage issu des collections MIRA, Cinémathèque régionale numérique
L’ÉGALITÉ FEMMES-HOMMES
de Jeanne-Marie de Cointet [1989] – 2min
À la fin des années 80, une femme tient la caméra et un père son enfant. Des instants de tendresse qui redessinent l’image de l’homme au sein du foyer.

Tarifs habituels