CINÉ-DÉBAT : SE7EN

DANS LE CADRE DU FESTIVAL PLAY IT AGAIN


FestivalCiné débatSéance présentée

RÉSERVATION


David Fincher | US | 2H10 | 1996 | Interdit aux moins de 12 ans.

Dans le cadre du festival Play It Again organisé par l’Agence Nationale pour le Développement du Cinéma en Régions (ADRC), la séance de Seven du 27 septembre à 18H00 sera présentée et suivie d’un échange avec Sophie Grech, attachée de presse et cocréatrice du podcast Réalisé sans trucages.

Pour conclure sa carrière, l’inspecteur Somerset, vieux flic blasé, tombe à sept jours de la retraite sur un criminel peu ordinaire. John Doe, c’est ainsi que se fait appeler l’assassin, a decidé de nettoyer la societé des maux qui la rongent en commettant sept meurtres basés sur les sept pechés capitaux: la gourmandise, l’avarice, la paresse, l’orgueil, la luxure, l’envie et la colère.

L’un des meilleurs néo-noirs contemporains, relecture stylisée des archétypes du genre, passés ici au shaker d’une esthétique hybride. C’est son deuxième film, et Fincher impose déjà sa patte, une direction artistique sophistiquée, du générique d’ouverture à la photographie signée Darius Khondji.
-La Cinémathèque Française.

David Fincher | US | 2H10 | 1996 | Interdit aux moins de 12 ans.

Dans le cadre du festival Play It Again organisé par l’Agence Nationale pour le Développement du Cinéma en Régions (ADRC), la séance de Seven du 27 septembre à 18H00 sera présentée et suivie d’un échange avec Sophie Grech, attachée de presse et cocréatrice du podcast Réalisé sans trucages.

Pour conclure sa carrière, l’inspecteur Somerset, vieux flic blasé, tombe à sept jours de la retraite sur un criminel peu ordinaire. John Doe, c’est ainsi que se fait appeler l’assassin, a decidé de nettoyer la societé des maux qui la rongent en commettant sept meurtres basés sur les sept pechés capitaux: la gourmandise, l’avarice, la paresse, l’orgueil, la luxure, l’envie et la colère.

L’un des meilleurs néo-noirs contemporains, relecture stylisée des archétypes du genre, passés ici au shaker d’une esthétique hybride. C’est son deuxième film, et Fincher impose déjà sa patte, une direction artistique sophistiquée, du générique d’ouverture à la photographie signée Darius Khondji.
-La Cinémathèque Française.