Alive

LE NANAR DU DIMANCHE DU COSMOS

Lorsque Alex Meyer, metteur en scène de comédie musicale, retrouve l’inspiration qu’il avait perdue depuis la rupture avec sa femme, c’est son producteur qui renonce à le suivre : Dans ce métier, trois ans d’absence, c’est très long, trop long… Mais Alex, déterminé, et espérant même secrètement que ce spectacle pourrait lui permettre de reconquérir celle qu’il aime, va alors tenter l’impossible : le monter à  » l’arrache  » dans un entrepôt prêté par un ami, en donnant leur première chance à des jeunes talents et surtout avec la complicité de Matthieu, ce jeune compositeur surdoué qu’il vient de découvrir…

Dans la vie, il y a deux types de nanars. D’un côté, ceux qui sont drôles à leurs dépens, qui se prennent trop au sérieux ou essayent maladroitement de composer avec un budget famélique et des acteurs recrutés sur le parking du Auchan du coin. Les seconds, assez nombreux par ailleurs, penchent du côté du film d’exploitation cynique et taillé pour engranger un maximum d’argent le plus vite possible. De cette démarche mercantile surgit ce que nos contemporains s’amusent à appeler le « cringe », soit cette sensation de gène très pénible lorsque l’on est face, entre autres, à quelque chose qui essaye désespérément de nous plaire et de nous séduire sans une once de sincérité. En soi, Alive, avec sa formidable accumulation de poncifs et de clichés de la télé-réalité portés sur le grand écran, est le parfait représentant de ces films que l’on adore détester. En essayant, avec un acharnement remarquable, de surfer sur le succès de la Star Academy et autres télécrochets du début des années 2000, Alive nous transporte dans un passé pas si lointain dont il parvient presque à nous faire regretter d’être nostalgique. Un bijou!
– Félix Sengel

Birdemic : Shock and Terror

Des convictions écologistes chevillées au corps, des modèles numériques d’oiseaux piochés sur une banque d’images et une bande d’acteurs et d’actrices qui semblent avoir été kidnappés pour l’occasion suffisent largement pour réaliser une réinterprétation très libre des oiseaux d’Alfred Hitchcock. Vous peinez à y croire ? Birdemic l’a fait. Enfin, vraiment très mal, mais c’était déjà bien d’avoir essayé.

Plan 9 from Outer Space

Dans les années 1950, des extra-terrestres, alarmés par la maîtrise balbutiante de l’énergie atomique, craignent que nos progrès scientifiques ne nous amènent à détruire par accident la galaxie toute entière. Ils décident alors de prendre contact avec les gouvernements terriens afin de les persuader de renoncer à cette course à l’armement nucléaire. Peine perdue : les autorités américaines répondent par un méprisant silence avant d’ordonner à l’armée de tirer sur les soucoupes volantes.

Avec Gregory Walcott, Mona McKinnon…

Atomic College

Le Nanar du dimanche du Cosmos fait sa rentrée avec un classique du cinéma d’exploitation bête et méchant!

Ne paniquez pas ! L’incident survenu à la centrale nucléaire près du lycée de Tromaville n’est absolument pas dangereux pour les habitants ! Et si les étudiants les plus sages commençaient à perdre toute morale et discipline ? Et si certains se transformaient en une horde de cannibales assoiffés de sang ?

Atomic College est un exemple parfait des productions typiques de la maison Troma Entertainment, spécialisée dans les films d’exploitation au budget famélique et aux images volontairement subversives et choquantes (chocs largement tempérés par un budget dédié aux effets spéciaux équivalent au prix d’un ticket de tram). Jeu des acteurs douteux, gore raté, scénario absurde, de quoi satisfaire l’appétit de tout·e amateur·ice de nanar!

Atomic College

Lloyd Kaufman, Richard W. Haines

US1H251987


Nanar du dimancheSéance uniqueSéance présentée

RÉSERVATION


Le Nanar du dimanche du Cosmos fait sa rentrée avec un classique du cinéma d'exploitation bête et méchant!

Ne paniquez pas ! L'incident survenu à la centrale nucléaire près du lycée de Tromaville n'est absolument pas dangereux pour les habitants ! Et si les étudiants les plus sages commençaient à perdre toute morale et discipline ? Et si certains se transformaient en une horde de cannibales assoiffés de sang ?

Atomic College est un exemple parfait des productions typiques de la maison Troma Entertainment, spécialisée dans les films d'exploitation au budget famélique et aux images volontairement subversives et choquantes (chocs largement tempérés par un budget dédié aux effets spéciaux équivalent au prix d'un ticket de tram). Jeu des acteurs douteux, gore raté, scénario absurde, de quoi satisfaire l'appétit de tout·e amateur·ice de nanar!

Ne paniquez pas ! L’incident survenu à la centrale nucléaire près du lycée de Tromaville n’est absolument pas dangereux pour les habitants. Et si les étudiants les plus sages commençaient à perdre toute morale et discipline ? Et si certains se transformaient en une horde de cannibales assoiffés de sang…