Inherent Vice

Paul Thomas Anderson

US2H282015


Paul Thomas Anderson


L'ex-petite amie du détective privé Doc Sportello surgit un beau jour, en lui racontant qu'elle est tombée amoureuse d'un promoteur immobilier milliardaire : elle craint que l'épouse de ce dernier et son amant ne conspirent tous les deux pour faire interner le milliardaire… Mais ce n'est pas si simple… C'est la toute fin des psychédéliques années 60, et la paranoïa règne en maître. Doc sait bien que, tout comme "trip" ou "démentiel", "amour" est l'un de ces mots galvaudés à force d'être utilisés – sauf que celui-là n'attire que les ennuis.

What's up, Doc ? » Jamais on n'aurait cru que la phrase culte de Bugs Bunny devienne un jour la réplique-leitmotiv d'un film de Paul Thomas Anderson. Des surprises de ce genre, Inherent Vice les enchaîne jusqu'à l'ultime carton du générique de fin. Le réalisateur de There will be blood a repris un roman touffu de Thomas Pynchon pour signer le chaînon manquant entre Le Grand Sommeil et The Big Lebowski : un brillant pastiche des polars de Chandler.
-Télérama

L’ex-petite amie du détective privé Doc Sportello surgit un beau jour, en lui racontant qu’elle est tombée amoureuse d’un promoteur immobilier milliardaire : elle craint que l’épouse de ce dernier et son amant ne conspirent tous les deux pour faire interner le milliardaire… Mais ce n’est pas si simple… C’est la toute fin des psychédéliques années 60, et la paranoïa règne en maître. Doc sait bien que, tout comme « trip » ou « démentiel », « amour » est l’un de ces mots galvaudés à force d’être utilisés — sauf que celui-là n’attire que les ennuis.