HEAR / PROGRAMME DE COURTS METRAGES 2

No man’s land, Théo COSQUER et Mathys MAILLY, 1 min
Des trains, entièrement en sérigraphie…

Hallumettes, Sacha BRUNET-JAILLY et Louise BULTEZ, 14 min
Une allumette en quête de sa flamme intérieure, perdue dans l’industrie des illusions.
Entre feu sacré et combustion programmée, elle témoigne de l’absurdité de ce monde.
Comment trouver sa flamme lorsque la croissance embrase le monde ?

Mia et la maison, Maud LALOUIS-GRET, 16 min
Mia se rend à une pyjama party avec ses amies. Dans cette parenthèse ordinaire vient se nicher une étrange présence qui lui semble familière, venant perturber et guider Mia dans la redécouverte d’un souvenir voilé. Dans un chemin onirique, Mia retrouve les traces de son foyer passé, réceptacle des traumatismes d’enfance.

La Flaque, Louna TOURNIER-PETITCOLAS, 9 min
Ce matin, une flaque immense recouvre le champ des vaches à côté de chez nous.

I feel strange to landscape, Anaëlle BRESSON, 8 min
Une narratrice désincarnée poursuit une silhouette fuyante à travers Google Earth. Les transitions entre différents modes de navigation fragmentent le monde et le recomposent, éloignant petit à petit la narratrice de sa cible.

Accused, Maylis COMINETTI, 12 min
Dans la société du langage soufflé, un duel décidera de l’acquittement de « l’accusée ».

Ton Ventre et le mien, Thaïs MALHAIRE, 9 min
Au fond du plus intime, à travers l’œil d’un bœuf et le chœur d’un groupe d’enfants, apparaît le portrait de deux animaux et de leur gestation respective. Les meilleurs tubes réarment la France.

Au revoir Noël, Eva LE CASTREC, 22 min
Des personnages évoluent dans une maison marquée par le passage des années. Leurs actions de rangement et de tri dessinent les enjeux de leur présence temporaire en ces lieux.
Ce film documentaire évoque l’éloignement de l’enfance à travers la disparition des décors qui ont abrité ses souvenirs marquants.

Le Rêve d’Aliénor, Robin PLASTRE et Camille DELLA GIUSTINA, 10 min
À jamais coincée entre deux mondes, Aliénor n’est pas vraiment morte : on lui a refusé le repos éternel en la pétrifiant sous forme de gisante. Comme tant d’autres, elle est venue enrichir le panthéon macabre du roman national pendant que l’on parle à sa place. Que fait-elle alors ? Elle dort, et rêve un monde qui vient parasiter celui des vivants.