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Déjanira, danseuse brésilienne qui ne parle pas un mot de Français, monte de justesse dans l’express Paris-Nantes-Saint Nazaire de 17h27, dit le « Maine Océan ». Le Garrec et Pontoiseau, les deux contrôleurs du train, l’interpellent car, dans sa hâte, elle n’a pas composté son billet. Tandis qu’ils tentent de lui expliquer la situation dans un anglais très approximatif, une passagère avocate, Me Mimi de Saint-Marc, prend parti pour la jeune fille. Le ton monte et l’avocate entraîne sa nouvelle amie à Baugé où elle doit plaider la cause d’un marin de l’île d’Yeu, Marcel Petitgas, accusé à tord d’avoir molesté un automobiliste. Pontoiseau de son côté voudrait bien revoir la belle Déjanira…

Witek est étudiant en médecine, au futur incertain dans la Pologne communiste. Kieslowski dramatise son histoire à travers différentes possibilités qui suggèrent que la chance et nos choix ont la même implication dans notre vie. La difficile compatibilité entre idéaux politiques et bonheur personnel.

Pierre se rend à la Gare de l’Est pour accueillir sa mère. Cette dernière, n’arrive pas alors qu’elle a visiblement bien pris le train. Il en déduit qu’elle pourrait être tombée pendant le trajet et décide de longer à pied la voie ferrée en partant de la gare de Troyes pour aller à Paris. Amélie, sa fille, l’accompagne dans cette quête singulière.

Milos travaille dans une petite gare tchèque pendant la deuxième guerre mondiale. Tourmenté par sa timidité, il n’arrive pas à séduire la jolie contrôleuse qui pourtant s’offre à lui. Devant cet échec et désespéré de pouvoir prouver qu’il est un homme, il tente de se suicider. Une jeune fille va tenter de lui faire surmonter ses craintes.