Amour / Sida + Festival Augenblick
Semaine 1

08.11 14.11

Sixième cycle pour Le Cosmos entrant en résonance avec l’exposition Aux temps du sida au Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg : Amour / Sida. La très belle exposition des Musées explore notamment tout un pan de la culture populaire et donc du cinéma… Accrochez-vous, elle est visible jusqu’au 4 février 2024.

Côté Cosmos, nous montrons des films qui traitent de l’épidémie sous ses différents prismes : intimité, militantisme, traitement médiatique et sous différents formats : documentaires, courts métrages, fictions, longs métrages et films expérimentaux.

Pour ce cycle, le Conseil de programmation du Cosmos s’est entouré de Didier Roth-Bettoni, journaliste, critique et historien du cinéma LGBT. Conseiller cinéma sur l’exposition du MAMCS, il a accompagné nos réflexions et nous a guidés sur le choix des films afin de contextualiser l’épidémie, l’évolution de son traitement au cinéma (le sida a fait quelque chose au cinéma et vice versa) et d’en offrir des points de vue riches et divers. Comme les membres du Conseil de programmation, Didier Roth-Bettoni a participé à l’écriture des notules à découvrir dans la brochure et ici-même.

SOIRÉE LANCEMENT DU CYCLE / mercredi 8 novembre à 19h30 en Grande salle en présence de Didier Roth-Bettoni et autour du film Zero Patience de John Greyson et de l’équipe du MAMCS.

Cette semaine, le Festival Augenblick, festival du cinéma germanophone, continue et continue fort dans les salles de cinéma participantes en Alsace et en Lorraine. Au Cosmos, nous accueillons la compétition de courts métrages, format que nous apprécions particulièrement, le Focus Cinéma et Musique ainsi que deux ateliers – les premiers du festival.

Ce mercredi 8 novembre, c’est le spectacle-atelier bruitage ! À 15H00 en grande salle, assistez à une expérience immersive et interagissez avec des bandes son ! Inscriptions par téléphone au 03 88 52 09 35 ou en billetterie !

MER. 08.11

Atelier bruitage dans le cadre du Festival Augenblick + Ouverture du cycle Amour / Sida

La petite salle étant en travaux (pour une dernière journée), il n’y a pas de séances dans la petite salle.

Les films jeunes publics sont en vert !

13H00 | Grande salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK et du Focus cinéma & Musique : Cœur de Verre, de Werner HERZOG
(RFA – 1976 – VOST – 1h37)

15H00 | Grande salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK : Spectacle-atelier bruitage pour les jeunes publics et les familles !
À partir de 10 ans
Durée : 2 heures
Tarif : 8 € (Possibilité d’appliquer le tarif de groupe – Renseignements au 03 88 52 09 35)
Réservation par téléphone ou en billetterie : 03 88 52 09 35Parce que le son est une énergie que nous apprivoisons dans l’ensemble de nos activités depuis de nombreuses années, nous proposons aujourd’hui des conférences interactives de mise en son d’extraits choisis et un spectacle. Véritables spectacles immersifs très joyeux, ces démonstrations de cinéma interactives sont autant pédagogiques que ludiques. Venez ressentir, réfléchir et agir sur les bandes son, faire vos premiers pas en psycho-acoustique. Adaptables à de nombreux événements comme les festivals, ces « leçons de son » sont uniques, pensées en fonction des publics (enfants, étudiants, professionnels, festivaliers, tout public…) et de vos objectifs.

17H20 | Grande salle | Tout sur ma Mère, de Pedro ALMODOVAR
(ESP + FR – 1999 – VOST – 1h41)

19H30 | Grande salle | SOIRÉE OUVERTURE DE CYCLE #6 : Zero Patience, de John GREYSON
En présence du journaliste et historien du cinéma LGBT Didier Roth-Bettoni et des membres du Conseil de programmation et de l’équipe du MAMCS.
(CAN + GB – 1995 – VOST – 1h40)
Comédie musicale19H30 : Présentation du cycle #6 Amour / Sida avec Didier Roth-Bettoni et l’équipe du MAMCS.
20H00 : Projection du film
21h40 : Échange avec la salle sur le film

La programmation en détail

Cœur de Verre, de Werner HERZOG
(RFA – 1976 – VOST – 1h37)
_ Le berger au don de voyance Hias est un personnage important du folklore bavarois ayant fait son apparition au cours du XVIIIème siècle. Herzog réalise avec Cœur de verre une variation sur ses prophéties qui ont fortement marqué le monde rural, tournant son film en Basse Bavière, à l’est de la région où serait apparu ce personnage. Cœur de verre est un film tout entier construit autour d’expériences sensorielles et de changements d’état de conscience. La musique de Popol Vuh participe aussi de l’état extatique que le spectateur doit atteindre pour se rapprocher du propre état de Hias au moment de ses visions, complétant à la perfection les images qui défilent et le rythme imprimé par le montage.

Tout sur ma Mère, de Pedro ALMODOVAR
(ESP + FR – 1999 – VOST – 1h41)
_ Manuela vit seule avec son fils Esteban dont, un soir, elle lui parle. Quand le drame arrive, elle n’aura d’autre choix que de rechercher le père de son fils.

Ce magnifique mélodrame aborde frontalement les thématiques de la maladie,de la mort et du deuil mais s’affirme surtout comme une puissante ode à la vie. Il faut s’attendre à passer du rire aux larmes, à un violent déferlement d’émotions qui nous laissent titubant·e·s et ébranlé·e·s mais aussi ravi·e·s et bouleversé·e·s. Déclaration d’amour à la féminité et à la maternité sous leurs formes les plus classiques et les plus atypiques, cette oeuvre est portée par un sublime quatuor d’actrices. (C.I.)

Zero Patience, de John GREYSON
(CAN + GB – 1995 – VOST – 1h40)
_Un savant va interroger l’entourage d’un homme mort du sida. Celui-ci est revenu au monde sous forme de fantôme et est outré par les témoignages diffamatoires de ses proches.

Résumer Zero Patience tient de la gageure, tant ce scénario dont le héros est le fantôme de celui qu’on appela le Patient zéro — un steward canadien faussement accusé d’avoir été le propagateur du sida en raison de son grand nombre de partenaires — ne cesse d’osciller d’un registre à un autre : conte, comédie musicale, réflexion politique, fantaisie queer, histoire d’amour et de saunas, de morts et de vivants, d’anus et de virus… Ce mix donne un film fou, unique, réjouissant, impertinent et terriblement pertinent. (D.R.B.)

JEU. 09.11

Festival Augenblick + Nature en colère

12H15 | Grande salle | Jeanne et le Garçon formidable, d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 1998 – 1h34)
Comédie musicale

14H00 | Grande salle | Toute la Beauté et le Sang versé, de Nan GOLDIN
(US – 2023 – VOST – 2h07)
Documentaire

16H00 | Grande salle | Tongues Untied, de Marlon RIGGS
(US – 1989 – VOST – 55 min.)
Documentaire expérimental

17H00 | Grande salle | DANS LE CADRE DES PROJECTIONS-CONFÉRENCES NATURE EN COLÈRE : Là où chantent les Écrevisses, d’Olivia NEWMANC’est la dernière projection-conférence avant le cycle Nature en colère au mois de mai. Le groupe Cultures Visuelles du laboratoire Approches contemporaines de la création et de la réflexion artistique de l’Université de Strasbourg creuse depuis plusieurs semaines les relations entre images, vidéos, films et l’idée d’une nature qui se rebelle. Pour cette dernière projection-conférence accueillie par Le Cosmos, on se penche sur la manière dont nous conscientisons la nature…
CONFÉRENCE : ANNE-CAROLINE PRÉVOT : De nouvelles expériences de nature pour ouvrir des voies vers des futurs soutenables ? La nature dans les changements transformateurs : Importance des imaginaires fictionnels.La conférence aura lieu de 17h à 18h30 et sera suivie de la projection.
Tarif unique conférence + projection : 10 €
Gratuit pour les étudiant·es du groupe Cultures Visuelles.
Conférence gratuite et projection à 5 € pour les étudiant·es de l’Université de Strasbourg.
Un certain nombre de sièges étant réservés aux étudiant·es, les places sont limitées.

20H00 | Petite salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK et du Focus cinéma & Musique : L’Ami américain, de Wim WENDERS
(RFA + FR – 1977 – VOST –  2h06)

La programmation en détail

Drôle de Félix, d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 2000 – 1h35)
Avec Sami Bouajila, Patachou, Ariane Ascaride…
_ Pour faire la rencontre de son père qu’il ne connaît pas, un jeune Dieppois se rend à Marseille. Il choisit l’auto-stop comme moyen de transport et n’hésite pas à emprunter des chemins de traverse…

Sous la forme d’un road movie ensoleillé, le duo Ducastel-Martineau, pour son deuxième film, raconte un moment important de l’histoire du sida : les lendemains de l’arrivée des trithérapies qui, à partir de 1996, ont permis aux malades du sida de « vivre avec » le virus et de s’imaginer à nouveau un avenir. Le film dresse dès lors le portrait d’un jeune séropositif plein d’entrain cherchant à renouer avec son père. Mais au fil des étapes de son voyage, c’est une famille choisie qu’il se constitue, plus bienveillante et importante que sa famille biologique… (D.R.B)

Jeanne et le Garçon formidable, d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 1998 – 1h34)
Avec Virginie Ledoyen, Mathieu Demy, Valérie Bonneton…
_ Jeanne, réceptionniste dans une agence de voyage, collectionne les amants. Un jour, elle tombe sur Olivier dans le métro et c’est le coup de foudre. Mais leur amour se retrouve assombri par le grand mal de la décennie : le sida.

C’est sous la forme d’une comédie musicale pop et pimpante que se présente le premier film d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau, sans doute les seuls réalisateurs dont l’oeuvre tout entière est traversée par le sida et ses évolutions, des années terribles de l’épidémie (Nés en 68) jusqu’aux traitements les plus contemporains (Théo et Hugo dans le même Bateau). Dans Jeanne…, les deux admirateurs d’un cinéma de Jacques Demy dont on trouve nombre d’échos (la forme musicale, mais aussi le rôle principal tenu par Mathieu Demy), racontent un moment singulier de l’épidémie : celui où l’apparition de nouveaux traitements (les trithérapies) ouvre enfin l’horizon pour les malades, mais sans régler illico tous les problèmes. Il y a encore des morts et des deuils. Et la mobilisation — comme le montre la présence forte d’Act Up et de ses militants à l’écran — est toujours indispensable pour alerter, dénoncer, mobiliser. Film joyeux et tragique, sombre et coloré, Jeanne… est une oeuvre majeure de la filmographie du sida. (D.R.B.)

Toute la Beauté et le Sang versé, de Nan GOLDIN
(US – 2023 – VOST – 2h07)
_ Immense artiste (dont des photographies sont présentées au MAMCS dans le cadre de l’exposition Aux temps du sida), Nan Goldin est aussi une activiste infatigable, qui, depuis des années, se bat contre la famille Sackler, responsable de la crise des opiacés aux États Unis et dans le monde.

Ça commence par la voix feutrée de Nan Goldin. Comme un renard qui avance dans l a neige. Son calme surprend, tant ce qu’elle déroule est terrible. Hypnotisé·es, on la suit. On s’enfonce toujours plus profondément. La douceur de sa voix, la beauté des images d’archives, l’absence de complaisance, l’intelligence, tout engage à la suivre. Trois histoires s’entremêlent. Le présent : le combat et l’engagement actuel de Nan Goldin, ses actions avec le collectif P.A.I.N. contre la famille Sackler. Le récit de sa vie et de celles de ses proches, depuis les années 50 jusqu’à aujourd’hui. Son travail artistique de photographe. Les trois sont indissociables, passionnantes, bouleversantes. Elles s’enrichissent, donnent du sens et de la profondeur les unes aux autres, forment un parcours intime et politique qu’on ne soupçonnait pas. On se surprend à changer son regard sur une oeuvre mal vue et mal lue. On change aussi son regard sur les êtres. On voit la douceur, la beauté, la force de rébellion et de résistance toujours intactes. (A.B.)

Les Témoins, d’André Téchiné
(FR – 2007 – 1h52)
Avec Satya Dusaugey, Michel Blanc, Emmanuelle Béart…
_ Paris. Été 1984. Manu arrive à Paris et s’installe avec sa soeur. Il y fait la connaissance d’Adrien qui lui fera découvrir son milieu, son style de vie et des amie·s. Au milieu : une passion amoureuse et l’irruption du sida.

À l’instar de François Truffaut, André Téchiné a toujours souhaité réconcilier le film d’auteur et le cinéma mainstream. Comme à son habitude, il s’entoure pour Les Témoins d’un casting cinq étoiles (Emmanuelle Béart, Michel Blanc, Julie Depardieu…) pour réaliser cette fois-ci un film historique et mémoriel sur le sida, « surtout parce qu’il n’y en a pas eu beaucoup, en France du moins ». Démarrant son récit à l’été 1984, au moment où la maladie commence à prendre la forme d’une funeste pandémie, Les Témoins est avant tout une métaphore pudique sur la fragilité de la vie. (G.G.)

Tongues Untied, de Marlon RIGGS
(US – 1989 – VOST – 55 min.)
_ Marlon Riggs réunit ses frères, parmi lesquels le poète Essex Hemphill, dans ce pamphlet sensible autour de l’expérience des hommes noirs homosexuels au moment de l’épidémie de sida.

Slam, danse, musique, récit en prose, journal… tout se mêle dans ce poème expérimental et intime par lequel Marlon Riggs s’emploie à faire surgir les absents du cinéma américain mainstream — les noirs, les homosexuels, les séropositifs —, et à dénoncer les discriminations auxquelles lui et ses amis se heurtent au quotidien. Emblématique du new queer cinéma, ce documentaire intense est une des rares réalisations d’un cinéaste mort des suites du sida à 37 ans, en 1994. (D.R.B.)

Là où chantent les Écrevisses, d’Olivia NEWMAN
(US – 2022 – VOST – 2h05)
Kya, une petite fille abandonnée, a grandi seule dans les dangereux marécages de Caroline du Nord. Pendant des années, les rumeurs les plus folles ont couru sur la « Fille des Marais » de Barkley Cove, isolant encore davantage la sensible et résiliente Kya de la communauté. Sa rencontre avec deux jeunes hommes de la ville lui ouvre un monde nouveau et effrayant…

Plaire, Aimer et Courir Vite, de Christophe HONORÉ
(FR – 2018 – 2h12)
Avec Vincent Lacoste, Pierre Deladonchamps, Denis Podalydès…
_ 1990. Arthur a vingt ans et il est étudiant à Rennes. Sa vie bascule le jour où il rencontre Jacques, un écrivain qui habite à Paris avec son jeune fils. Le temps d’un été, Arthur et Jacques vont se plaire et s’aimer. Mais cet amour, Jacques sait qu’il faut le vivre vite.

Une dernière romance impossible, la mort qui rôde. Le cinéma est une histoire de spectres, mais ici ils ont une double résonance. Ils entourent les personnages du film, mais aussi les films de Christophe Honoré. Ce sont ses aînés en cinéma et en littérature. Emportés par « les saignées du sida, ils nous ont rendu inachevé et flottant », dira-t-il. Mais c’est sans doute encore leur présence qui rend ce film sensible et sensuel, et ses personnages fragiles et beaux, brisant la couche des couleurs, des décors, de la mise en scène ou des dialogues, parfois artificiels ou maniérés. Ces spectres les aideront à rire de la mort et à la devancer, et si ce n’est pas eux, c’est sans doute un peu la bande-son ! (N.M.)

L’Ami américain, de Wim WENDERS
(RFA + FR – 1977 – VOST –  2h06)
Avec L’Ami américain, inspiré par deux romans de Patricia Highsmith, Wim Wenders transplante dans la ville hanséatique de Hambourg l’imaginaire du film noir américain et se livre à une formidable relecture réflexive du genre, n’ayant rien à envier à ses plus beaux fleurons. Hanté par la morbidité, imbibé du climat humide de son décor portuaire, illuminé par des clairsobscurs glauques et des demi-jours douteux, L’Ami américain investit la division des deux Allemagnes comme l’écran paranoïaque où s’engouffrent les ombres mouvantes d’une cinéphilie constituée. C’est pourquoi l’on retrouve, dans des rôles de gangsters, des « pères » en cinéma tels que Nicholas Ray ou Samuel Fuller, mais aussi des cinéastes-amis comme Jean Eustache ou Daniel Schmid.

Et Maintenant ?, de Joaquim PINTO
(POR + ESP – 2014 – VOST – 2h44)
_ Et maintenant ? est un journal filmé, une réflexion sur la survie au-delà de tous les pronostics mais aussi sur l’amour, l’amitié, le cinéma et le Portugal depuis la révolution jusqu’à la crise actuelle.

Joaquim Pinto, figure du cinéma portugais, vit avec le VIH depuis près de vingt ans. Et maintenant ? est le carnet filmé d’une année sous l’emprise d’un traitement expérimental qui lui abîme le corps et l’esprit. Mais l’enquête sur soi dépasse rapidement le malade pour s’inscrire dans une réflexion éclectique sur le temps, la souffrance, sur les mystères de l’art et de la nature. Un va-et-vient émouvant entre les souvenirs et le présent, tout le présent : la politique, la sécheresse, une guêpe qui agonise au bord de la fenêtre… Un chant d’amour à la vie lorsque se profile l’ombre de la mort. (J.-F.P.)

VEN. 10.11

13H30 | Grande salle | Et Maintenant ? de Joaquim PINTO
(POR+ESP – 2014 – VOST)

13H45 | Petite salle |  Precious de Lee DANIELS, précédé par le court métrage Les Oiseaux du Paradis de Céline CARRIDROIT et ALINE SUTER
(US – 2010 – VOST – 1H49) / (CH – 2019 – 15 min.)

16H00 | Petite salle | Encore (Once More) de Paul VECCHIALI
(FR – 1988 – 1H22)

16H30 | Grande salle | Un Virus Sans Morale de Rosa VON PRAUNHEIM
(ALL – 1986 – VOST – 1H24)

17H45 | Petite salle | Philadelphia de Jonathan DEMME
(US – 1994 – VOST – 2H05)

18H15 | Grande salle | Tongues Untied de Marlon RIGGS
(US – 1989 – VOST – 55 min.)

20H00 | Grande salle | Coeur de Verre de Werner HERZOG
(RFA – 1976 – VOST – 1H37)

20H00 | Petite salle | Dallas Buyers Club de Jean-Marc VALLÉE
(US – 2014 – VOST – 1H57)

21H45 | Grande salle | Jeanne et le Garçon Formidable d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 1998 – 1H34)

22H10 | Petite salle | The Garden de Derek JARMAN, précédé par le court métrage Hideous de Yann GONZALEZ
(JAP + ALL + GB – 2005 – VOST – 1H32) / (GB – 2023 – VOST – 22 min.)

La programmation en détail

SAM. 11.11

Les films jeunes publics sont en vert !

10H00 | Petite salle | Hôtel Transylvanie de Genndy TARTAKOVSKTY
(US – 2013 – VOST+VF – 1H31)
À partir de 6 ans

10H00 | Grande salle | Programme de courts métrages Vaincre sa peur
Pour accompagner le cycle thématique Amour / Sida, nous avons concocté un programme de courts métrages explorant la peur et la maladie pour les petit·es…
À partir de 6 ans

11H00 | Grande salle | Petite Vampire de Joan SFAR
(FR – 2020 – VF – 1H22)
À partir de 6 ans

14H00 | Petite salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK : COMPÉTITION DE COURTS MÉTRAGES #1
Das Massaker Von Anröchte d’Hannah DÖRR
(DE – 2021 – VOST – 59 min)Il Faut Fabriquer Ses Cadeaux de Cyril SCHÄUBLIN
(CH – 2021 – VOST – 11 min.)

Einmal Wieder Dieser Junge Sein de Jan KOESTER & Lisa Violetta GASS
(DE – 2022 – VOST – 7 min. 30)

Crushed d’Ella ROCCA
(CH – 2022 – VOST – 8 min.)

14H30 | Grande salle | Été 93 de Carla SIMON
(ESP – 2017 – VOST – 1H38)
À partir de 9 ans

15H45 | Petite salle | Drôle de Félix d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 2000 – 1H35)

16H20 | Grande salle | Tongues Untied de Marlon RIGGS
(US – 1989 – VOST – 55 min.)
Documentaire expérimental

17H30 | Petite salle | 120 Battements par minute de Robin CAMPILLO
(FR – 2017 – 2h23)

17H45 | Grande salle | Dallas Buyers Club de Jean-Marc VALLÉE
(US – 2014 – VOST – 1H57)

20H00 | Grande salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK et du Focus Cinéma & musique Playgirl de Will TREMPER
(RFA – 1966 – VOST – 1H28)

20H00 | Petite salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK et du Focus Cinéma & musique Le Droit du Plus Fort de Rainer Werner FASSBINDER
(RFA – 1974 – VOST – 2H04)

21H40 | Grande salle | Tout sur Ma Mère de Pedro ALMODOVAR
(ESP+FR – 1999 – VOST – 1H41)

22H20 | Petite salle | Vivant ! de Vincent BOUJON
(FR – 2014 – 1H20)
Documentaire

La programmation en détail

DIM. 12.11

Les films jeunes publics sont en vert !

10H00 | Grande salle | Hôtel Transylvanie de Genndy TARTAKOVSKTY
(US – 2013 – VOST+VF – 1H31)
À partir de 6 ans

10H00 | Grande salle | Programme de courts métrages Vaincre sa peur
Pour accompagner le cycle thématique Amour / Sida, nous avons concocté un programme de courts métrages explorant la peur et la maladie pour les petit·es…
À partir de 6 ans

11H00 | Petite salle | Petite Vampire de Joan SFAR
(FR – 2020 – VF – 1H22)
À partir de 6 ans

14H00 | Grande salle | Tout sur Ma Mère de Pedro ALMODOVAR
(ESP+FR – 1999 – VOST – 1H41)

14H00 | Petite salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK et du Focus Cinéma & musique L’Ami Américain de Wim WENDERS
(RFA+FR – 1977 – VOST – 2H06)

16H00 | Grande salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK Quand Hitler s’empara du Lapin Rose de Caroline LINK
(DE+CH – 2019 – VOST – 1H59)
À partir de 12 ans

16H20 | Petite salle | Jeanne et le Garçon Formidable d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 1998 – 1H34)

18H10 | Petite salle |Un Virus Sans Morale de Rosa VON PRAUNHEIM
(ALL – 1986 – VOST – 1H24)

18H20 | Grande salle | 120 Battements par minute de Robin CAMPILLO
(FR – 2017 – 2h23)

20H00 | Petite salle | Plaire, Aimer et Courir Vite de Christophe HONORÉ
(FR – 2018 – 2H12)

21H00 | Grande salle | Dallas Buyers Club de Jean-Marc VALLÉE
(US – 2014 – VOST – 1H57)

La programmation en détail

LUN. 13.11

13H40 | Petite salle | Les Témoins d’André TECHINÉ
(FR – 2007 – 1H52)

14H00 | Grande salle | Jeanne et le Garçon Formidable d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 1998 – 1H34)

15H45 | Grande salle | Un Virus Sans Morale de Rosa VON PRAUNHEIM
(ALL – 1986 – VOST – 1H24)

16H00 | Petite salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK et du Focus Cinéma & musique Le Droit du Plus Fort de Rainer Werner FASSBINDER
(RFA – 1974 – VOST – 2H04)

17H20 | Grande salle | Tongues Untied de Marlon RIGGS
(US – 1989 – VOST – 55 min.)

18H15 | Petite salle | Encore (Once More) de Paul VECCHIALI
(FR – 1988 – 1H22)

18H30 | Grande salle | Toute la Beauté et le Sang Versé de Nan GOLDIN
(US – 2023 – VOST – 2h07)

20H00 | Petite salle | Drôle de Félix d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 2000 – 1H35)

20H45 | Grande salle | Precious de Lee DANIELS, précédé par le court métrage Les Oiseaux du Paradis de Céline CARRIDROIT et ALINE SUTER
(US – 2010 – VOST – 1H49) / (CH – 2019 – 15 min.)

22H00 | Petite salle | Théo et Hugo dans le Même Bateau d’Olivier DUCASTEL et Jacques MARTINEAU
(FR – 2016 – 1H37)
Interdit aux – de 16 ans

La programmation en détail

MAR 14.11

13H45 | Grande salle | Tout sur Ma Mère de Pedro ALMODOVAR
(ESP+FR – 1999 – VOST – 1H41)

14H00 | Petite salle | Et Maintenant ? de Joaquim PINTO
(POR+ESP – 2014 – VOST)

16H00 | Grande salle | Petite Vampire de Joan SFAR
(FR – 2020 – 1H22)

17H00 | Petite salle | DANS LE CADRE DU FESTIVAL AUGENBLICK et du Focus Cinéma & musique Playgirl de Will TREMPER
(RFA – 1966 – VOST – 1H28)

17H45 | Grande salle | Un Virus Sans Morale de Rosa VON PRAUNHEIM
(ALL – 1986 – VOST – 1H24)

18H45 | Petite salle | The Garden de Derek JARMAN, précédé par le court métrage Hideous de Yann GONZALEZ
(JAP + ALL + GB – 2005 – VOST – 1H32) / (GB – 2023 – VOST – 22 min.)

19H30 | Grande salle | Plaire, Aimer et Courir Vite de Christophe HONORÉ
(FR – 2018 – 2H12)

21H00 | Petite salle |  Dallas Buyers Club de Jean-Marc VALLÉE
(US – 2014 – VOST – 1H57)

La programmation en détail